ON EST DANS LE MUR ? IL EST LARGEMENT DEPASSE !
Céline Pina le 12 mai
Elle s’appelle Maryam Pougetoux et est présidente de l’UNEF Paris IV.
Si vous lisez ceux qui ont travaillé sur les frères musulmans, vous verrez que leur premier objectif est la jeunesse et que le pouvoir au sein des universités les intéresse car ce sont souvent des ventres mous où la lâcheté de la gouvernance est vue comme de la coolitude. Mais derrière se joue aussi la question des nominations et du développement des filières indigénistes et islamistes, la multiplication des chaires diversités, post coloniales en témoigne comme la multiplication des travaux sur la race et «l’islamophobie » le montre également.
L’infiltration et le noyautage du syndicalisme étudiant est une volonté forte car elle répond à ces deux objectifs. Ce sont les étudiants musulmans de France EMF, filiale des frères musulmans, qui en sont chargés. Visiblement dans certains endroits, la manipulation a réussi.
Pourquoi cet objectif. Conditionner idéologiquement une partie de la jeunesse est le premier but. Le second, prendre des postes au sein de l’administration de l’Université. Comme les syndicats étudiants ne représentent rien (dans la plupart des facs la participation n’atteint même pas 10% du corps électoral), il suffit de contrôler peu d’étudiants pour être élu. Et comme que vous soyez élu par 3 pékins ou que vous représentiez quelque chose, vous avez le même pouvoir, les universités sont des fromages bien appétissants.
C’est ainsi que les frères musulmans, alliés au PIR, façonnent aujourd’hui en partie les soi-disant luttes étudiantes. Pour le pire.