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2 août 2019

PAUVRE FILLE

Classé dans : Atypique pique — eructeuse @ 10 h 52 min

Si mes bêtises vous navrent, vous m’en voyez navrée. Si mes bêtises vous réjouissent, vous m’en voyez réjouie ! Ouf nous ne vivons pas dans un monde parfait parce que le parfait penseur pourrait m’envoyer, quand j’ouvre mon bec, faire rétrécir mon bêtisier, pitié !

Deux août

Classé dans : ça c'est ben vrai ! — eructeuse @ 8 h 03 min

ou deux novembre

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De mon balcon ! Qui joue avec la lumière ?

Se débarasser des Pom pom girls au nom du féminisme ? titre Marianne

Article de Louis Nadou

Les équipes de basket de la NBA américaine se séparent peu à peu de leurs équipes de danseuses afin d’éviter d’être taxées de sexisme, rapport le magazine « Time ». Sauf que les concernées ne voient pas le sexisme du même œil…

Balance ta pom-pom. Comme l’explique un long papier du magazine américain Time ce lundi 29 juillet, les équipes de basket de la NBA américaine se séparent peu à peu de leurs danseuses chargées de distraire les spectateurs pendant les temps morts des matchs. Dans un contexte post-MeToo, défenseurs et détracteurs des « cheerleaders » se renvoient l’accusation de sexisme.

Ces 14 derniers mois, huit des trente équipes de NBA ont ainsi remplacé leurs équipes féminines de pom-pom girls par des équipes mixtes. Les Dallas Mavericks, les Cleveland Cavaliers les Toronto Raptors ou encore les San Antonio Spurs : tous ont mis fin aux emplois de leurs danseuses, rapporte le Time. Le 15 mai dernier, les Sacramento Kings ont annoncé aux 48 danseuses de leur équipe officielle que leur contrat prendrait fin le 30 juin. L’équipe de break-dance, entièrement masculine, est quant à elle reconduite, tout comme l’équipe de dunk ou la fanfare. Les femmes de l’équipe ont été encouragées à participer aux sélections pour intégrer l’équipe de breakdance, sans garantie d’y être retenues.

« Solution de facilité »

Ces danseuses font pourtant partie du paysage de la ligue depuis plus de 30 ans. Bien que leurs emplois soient le plus souvent à temps partiel, plusieurs d’entre elles affirment passer plus de vingt heures par semaine à s’entraîner et à se produire lors des matchs. Elles représentent également l’équipe auprès du public, apparaissant lors d’événements non sportifs.

Une tradition désormais sur la sellette : « D’après ce que j’ai compris, il y a une grande poussée de la mixité dans la NBA. Personnellement, je crois que ça a beaucoup à voir avec #MeToo« , explique au Time Dakota Samberg, danseuse pour les Cleveland Cavaliers de 2017 à 2019. Désormais, les équipes craignent de se voir accuser de sexisme. « Ils choisissent la solution de facilité en supprimant le problème. Ils rendent les équipes mixtes pour ne plus avoir ce genre d’inquiétude à l’avenir« , déplore dans le Huffington Post une ancienne danseuse des Milwaukee Bucks, Lauren Herington.

« Bonbon pour les yeux »

Cynthia Marshall, présidente des Dallas Mavericks, arrivée en poste après les accusations d’agression sexuelle contre son prédécesseur, justifie sa décision de supprimer l’équipe de danse par l’hypersexualisation de ses membres et une volonté de présenter un divertissement grand public : « Nous souhaitons mettre les danseuses en lumière en tant qu’artistes, et qu’elles brillent pour leurs compétences. Pas comme des bonbons pour les yeux. Si quelqu’un amène un enfant de dix ans au match, je ne veux pas qu’il ait à lui couvrir les yeux durant le spectacle« , affirme-t-elle. Les autres franchises de NBA interrogées par le Time soutiennent quant à elles qu’elles ne font que diversifier leurs équipes de divertissement.

Casie Bullock, danseuse au sein des Mavericks 2010 to 2014, se dit bouleversée par ce commentaire : « Quand ils disent : ‘vous voulez vraiment qu’un enfant de dix ans voie ça ?’, je ne sais pas s’ils se rendent compte de combien de petites filles viennent nous voir en nous disant qu’elles veulent être comme nous. C’est trop mignon, déclare-t-elle. Ça donne aux filles quelqu’un à admirer.« 

Une opportunité en moins

Au bout du compte, plusieurs danseuses jugent que la décision de supprimer ces équipes est elle-même… sexiste, dans la mesure où elle prive des femmes d’une bonne opportunité de carrière. « Ça devait être une décision difficile pour les dirigeants. Ils nous poussent dans une nouvelle ère, mais en même temps, pour moi, c’est un recul de l’égalité quand il s’agit de pouvoir danser« , regrette ainsi Dakota Samberg auprès du magazine américain.

La radicalité de la décision des franchises NBA interloque en tout cas de nombreuses danseuses : « Si la direction de ces équipes veut ajouter des hommes à notre héritage, plutôt que de tout changer la nature, le style et l’apparence de nos danses, nous accueillerons l’idée à bras ouverts« , assure Mhkeeba Pate, pom-pom girl de l’équipe de NFL des Seattle Seahawks pendant cinq ans, puis animatrice du podcast « Pro Cheerleading ». Eh oui, plutôt que de les supprimer, pourquoi ne pas peu à peu y intégrer des mecs, tout simplement ? là PTDR hâte de voir les boys se trémousser toutes boules et fesses dévoilées pour distraire les fans, c’est sûr que cela va avoir un franc succès !

 MDR ! Au nom du féminisme ? Ah comment salir le féminisme présenté comme cela ! Le féminisme n’est pas une chasse aux sorcières et là c’est un changement pour simplement garder de l’audience et du fric dans un contexte de délation qui n’a rien à voir avec le féminisme ! ! Va voir un débat de fond sur l’égalité homme femme dans ce monde d’hommes ? Où est le débat de fond dans cet article ? Dans son slip ? Revenons sur le mot distraire, car oui il s’agit bien de voyeurisme ! Ah ! Souvenez-vous de l’heureux temps où l’on pouvait se rincer l’œil, oui c’était bonbon, avec les petites culottes des majorettes, on pouvait baver en toute tranquillité sans être taxé de pédophilie ! Il est évident quand on est chargé de distraire le fan, oh je n’ai pas dit le bœuf, qu’on va créer de la danse où le trémoussage donnera des chatouillages  qui comme dit l’article date hou là là depuis longtemps et il ne faudrait pas dire que ces spectacles sont orientés pour séduire les  instincts de base du fan : boire grignoter et reluquer de la bonne donzelle à la mi-temps ! Ben quoi mater, c’est bon pour la santé ! Comment mais non, il est question de sport ! Oui bien sûr ! Expliquez-moi pourquoi le patineur sur glace ne montre pas son slip comme la patineuse ?  Et je ne vous parle même pas du tennis ! Le sexisme est dans toutes les strates de la société et le nier ne changera pas la donne ! Ha divertir le mâle c’est comme la prostitution, vieux comme le monde ! Certaines diront ça se fait en privé ! Quand on voit que ça ne choque pas grand monde, les bordels autour des stades de foot, comment voulez-vous que ce monde évolue ! Faut bien que la bite en ait pour son argent ! Et quand il y a encore des femmes pour dire que la prostitution ça évite les viols, on est mal on est mal ! Dans un monde d’hommes fait pour les hommes il n’y a pas de guerre des sexes puisqu’il n’y a que de la soumission au patriarcat… Sinon pan ! Faire exploser la ceinture de barbelé qui entrave nos cerveaux ça va prendre du temps… Faut oser et c’est du boulot !

 

 

 

 

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