Merci chères con-fines-nez dont le toc-saint swingue de bon matin afin de nous libérer, nous pauvres bêtes, de cette suie qui colle au fond de nos carafons séniles…
Merci chères con-fines-nez dont le doux crachat ou la morve joviale, tombe de bon matin afin de nous laver, nous pauvres saletés, de nos toxicités et de nous protéger par les bonnes recettes à lire, à boire, à digérer…
Merci de tant d’empathie partagée, loin de toute dictature tonnant comment se comporter !