Le point G
Le POINT écrit : Macron – Merkel convergences à tous les étages !
Sous le coup d’un trop plein de pression tu mates et vois :
Macron-Merkel con verge anges c’est plus doux avec le point G oyé !
Le POINT écrit : Macron – Merkel convergences à tous les étages !
Sous le coup d’un trop plein de pression tu mates et vois :
Macron-Merkel con verge anges c’est plus doux avec le point G oyé !
La petite ripailleuse
Dans ses rêves les plus profonds elle se voyait à la table des grands ! Ô bien sûr elle ne s’en vantait pas ! Sachant qu’on ne rentre pas comme ça chez les puissants ! Alors, elle, elle avait pris la porte de derrière…
Bien sûr le travail était éreintant, mais elle était aux premières loges pour observer le beau monde doré ! Elle touchait des stars des yeux ! Dans sa petite chambre de bonne, une belle file de jolies boîtes en carton meublait ses deux petites étagères ! Dans ces jolies boîtes d’autres boîtes !
« Il va falloir que j’achète de nouvelles boîtes ! »… Elle sortit trois petits mouchoirs qu’elle posa délicatement sur l’unique table ! Elle avait réussi son coup de maître et avait acquis trois trésors, elle chercha un crayon pour noter les noms des royales personnes ayant laissés ces cadeaux !
Un coup de vent faillit tout envoler ! Elle en était toute retournée, en attendant elle mit ses mouchoirs dans une grosse boîte portant deux lettres : G D…
Puis comme tous les soirs, elle choisit d’ouvrir une boîte, pour bien s’endormir…
Toutes n’avaient pas le même contenu, elle avait su s’adapter à ce qu’elle subtilisait… et elle y mettait sa patte décorative…
« Moi aussi je suis une artiste ! »
C’est ainsi que ce soir elle ouvrit un joli coffret où des miettes argentées firent briller ses yeux… Elle partit au pays de ses rêves où c’était elle qui faisait briller les yeux de ses spectateurs…
Une jeune fille de 17 ans a été tondue et frappée par sa famille ce lundi soir à Besançon. Celle-ci lui reproche de fréquenter un homme de confession chrétienne. La mère, le père, l’oncle et la tante de la victime ont été placés en garde à vue. Lu dans L’EST Républicain ! Besan cons !
Le cake d’amour confectionné par « Peau d’Âne » dans sa robe couleur de soleil, dans le film de Jacques Demy. Quel chef d’œuvre ce film ! Que de génie artistique ! Bravo à tous et toutes…
Vogue.fr : Catherine Deneuve dans « Peau d’Âne » par Floriane Reynaud
Une princesse souhaitant échapper à un mariage incestueux avec son père demande à ce dernier de lui confectionner trois robes impossibles et finit par être sauvée par le prince du château voisin… nul n’est étranger à l’histoire de Peau d’Âne. Réalisé par Jacques Demy et mis en musique par Michel Legrand en 1970, le film nous plonge dans un univers mélangeant féerique et surréalisme. C’est dans cette atmosphère propre au réalisateur qu’a émergé un costume maintenant entré dans la légende : la robe couleur de soleil. Alors que le film s’affranchit de logique et de références historiques – à la manière d’un dessin animé de princesse Disney – les costumiers ont piochés dans différentes époques allant de robes Louis XV aux déshabillés vaporeux hollywoodiens. Le but ? Créer des costumes surréalistes, défiant l’imagination. Point culminant du film, les trois robes commandées par la princesse à son père sont des œuvres d’arts ne ressemblant à aucune création réelle. Chacune d’entre elles devaient sembler irréalisables, plus merveilleuses encore que tout ce que l’on avait vu au cinéma, à tel point que la fée des Lilas – incarnée par Delphine Seyrig – devait penser leur conception impossible. Clou du spectacle, les trois tenues légendaires de Peau d’Âne ont demandé à l’artiste Agostino Pace d’y mettre toute son imagination. Une fois les croquis dessinés et validés par Jacques Demy, c’est Gitt Magrini, la costumière d’Antonioni et Bertolucci, qui s’est chargée de concevoir et fabriquer les pièces en Italie. Pour le personnage de la Princesse, le duo a imaginé pas moins de 10 costumes différents. Le cahier des charges de Jacques Demy était simple : créer des tenues surchargés aux couleurs vives tout droit sorties d’un rêve. Brocart, paillettes, cristaux, perles, miroirs… ces robes spectaculaires et tout en volumes ont contribué à établir Peau d’Âne comme l’un des bijoux du cinéma français.
Un roi bleu et ses gardes à la peau pervenche, un prince rouge et ses chevaux écarlates, une fée lilas, un mariage en blanc… L’univers chromatique du Peau d’Âne de Jacques Demy est riche en nuances franches. Pour les robes incroyables commandées par la princesse à son père, il fallait des demandes impossibles, des teintes tout droit sorties de l’imaginaire et qu’on ne pouvait toucher du doigt dans le monde réel. Alors que la robe couleur du temps était fabriquée en tissu d’écran de cinéma pour y projeter des nuages, que c’est une vraie peau d’âne que Catherine Deneuve enfile sur ses épaules, la robe couleur de soleil se démarque comme l’une des créations les plus fortes de tout le panel de costumes du film. C’est dans cette tenue d’apparat tout en dorures que la princesse envoûte le prince rouge, qu’elle lui concocte le fameux cake d’amour et c’est aussi vêtue de sa robe couleur de soleil qu’elle choisit de se révéler à tous. L’ensemble des robes ont été fabriquées en 1970 mais mal conservées, il n’en reste aujourd’hui aucune trace. La cinémathèque française s’est alors amusée à les recréer pour l’exposition Le monde en-chanté de Jacques Demy en 2013, sous la supervision d’Agostino Pace lui-même. L’atelier MBV s’est attelé à la tâche, reproduisant à l’identique les robes légendaires de Peau d’Âne avec pour seuls indices les images du film, les maquettes du costumier et les témoignages de Catherine Deneuve. L’interprète de Peau d’Âne révèle d’ailleurs que les robes étaient aussi lourdes qu’impressionnantes. Tant de tissus, broderies et empiècements qui ont rendu les costumes de Catherine Deneuve difficile à porter, en particulier dans les dédales du château de Chambord, théâtre de la famille du roi rouge. Pour améliorer son confort, les assistants de l’actrice la suivaient sur le plateau afin de glisser un tabouret sous ses jupons entre chaque scène pour lui permettre de s’asseoir. Composée d’un décolleté pigeonnant, de manches bouffantes et d’un jupon impressionnant, la robe émerveille et fascine. Le buste est orné de pierreries et paillettes, d’un enchevêtrement de tissus tous plus luxueux que les autres. Tel un bijou, ce costume faste représente à la fois la réelle identité royale de Peau d’Âne mais aussi sa libération de l’emprise de son père.
Il y a eu une rétrospective Jacques Demy à la cinémathèque française le 31 juillet 2013 à Paris !
Jean Marais et Catherine Deneuve tournent » Peau d’Âne » de Jacques Demy Archive INA
mais bien sûr :
le vélocicaptore, l’animal qui fait aussi le tour de la fesse !