La fête des étoiles
Sous les feux d’un orgasme puissant il y a quelques temps, son cœur fit badaboum ! Depuis des étincelles n’ont pas quitté ses yeux ! Mais qui ça ? Ben elle se surnomme très modestement la fée des étoiles…
Sous les feux d’un orgasme puissant il y a quelques temps, son cœur fit badaboum ! Depuis des étincelles n’ont pas quitté ses yeux ! Mais qui ça ? Ben elle se surnomme très modestement la fée des étoiles…
Sonde Voyager : en route vers l’infini Arte
Lancées en 1977 par la Nasa, les deux sondes Voyager sont les premiers objets de fabrication humaine à quitter notre système solaire. Elles se promènent aujourd’hui dans des régions lointaines – peut-être pour des milliards d’années. Retour sur ce fascinant parcours interstellaire. « Bonjour, ici les enfants de la planète Terre. » Aucun extraterrestre n’a pour l’instant écouté ce message terrien gravé sur le disque installé à bord de la sonde Voyager 1, qui dérive dans le cosmos depuis quarante ans et a déjà parcouru 20 milliards de kilomètres. Lancées en 1977 par la Nasa, les deux sondes Voyager sont les premiers objets de fabrication humaine à quitter notre système solaire. Elles se promènent aujourd’hui dans des régions lointaines – peut-être pour des milliards d’années. À leur bord, elles transportent des images et des sons de notre planète, ainsi que des illustrations de la civilisation humaine. Au fil de leur périple spatial, ces engins, équipés à l’époque de moins de technologie que nos actuels smartphones, ont communiqué des informations cruciales sur les planètes rencontrées en route – Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune – et sur leurs satellites. Ce film nous emmène dans un éblouissant et poétique voyage, retraçant le parcours des deux sondes. Elles dévoilent un nouvel espace-temps, ainsi que des catastrophes manquées de peu et des moments de grâce.
Documentaire d’Emer Reynolds (Irlande, 2017, 1h54mn)
ce dernier jour d’une année où on nous a dit que nous étions en guerre… Ainsi il est venu sans cortège, sans flonflon, sans tapage comme un mal aimé qu’il ne faut pas fêté … Ainsi il est venu le temps du passage (pour reprendre le mot de mon expression de décembre 2016) vers une autre année qu’on nous demande de vivre dans la solitude… Que dire, que dire, même s’il y a beaucoup à dire, ce moment de causerie, est pour moi, réduit à sa plus simple expression : prenez-soin de vous, on se retrouve l’année prochaine… Bises et à demain sur un autre chemin.