Au top
Vous avez bien noté que la bavouilleuse n’est point au top de sa forme… Sa verve ou comme dirait un ami, sa gouaille, patauge dans une médiocrité certaine…
Trop fatiguée pour lire, écrire, dessiner et même bricoler, la bavouillleuse végète, l’âme pesante, embrumée d’une lassitude tentaculaire ! Même plus la force de bramer contre ce putain de totalitarisme ambiant ainsi que sur la bêtise qui le nourrit ! C’est dire…
Au repos…