AINSI IL EST VENU
ce dernier jour d’une année où on nous a dit que nous étions en guerre… Ainsi il est venu sans cortège, sans flonflon, sans tapage comme un mal aimé qu’il ne faut pas fêté … Ainsi il est venu le temps du passage (pour reprendre le mot de mon expression de décembre 2016) vers une autre année qu’on nous demande de vivre dans la solitude… Que dire, que dire, même s’il y a beaucoup à dire, ce moment de causerie, est pour moi, réduit à sa plus simple expression : prenez-soin de vous, on se retrouve l’année prochaine… Bises et à demain sur un autre chemin.
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