Cette nuit, dans un moment où le corps toque et te dit lève toi et marche… il m’est venu un instant de réflexion sur ce que j’appelle la démolition des femmes… Comme je disais quelques articles avant celui-ci la vigilance est de mise… Les défenseurs les admirateurs les courbeurs d’échines devant notre si belle glorieuse féminité ne sont pas forcément les meilleurs « féministes »de notre « cause »… Mot vidé de son sens en ce temps de wokisme et de décadence certaine… Qu’est-ce donc qu’être femme, se sentir femme, j’étais déjà en train d’y répondre à ma façon quand je me sens dis mais je l’ai déjà fais dans mon livre sur le patriarcat : Brame au dessus d’un nid de cocottes sorti il y a déjà quelques années (décembre 2014) et je me souviens que mon intervieweur avait dit à Radio 4, que j’étais une lanceuse d’alerte…
J’ai écrit à la fin de mon livre :
Nous méritons de vivre libres !
Mon écriture je la pose en un acte politique, la littérature est un champ mort, s’il n’aboutit à aucune action, à aucun engagement, vivre par soi pour soi enfermé sur soi n’a aucun sens à mon sens.
L’être humain est fondamentalement un être social, l’enfermement des femmes est la marque de la folie des Hommes.
Il est temps d’entendre raison !
A suivre
Je peux donc constater aujourd’hui, 7 ans après la sortie de mon brame que la raison est loin d’être entendue et que la démolition continue et qu’elle est aussi menée par des femmes engluées dans leur idéologie…
On disait à une époque rien n’arrête le progrès et bien je peux dire que rien n’arrête notre démolition ! C’est clair que la vie est un combat et je dois dire que bramer que la haine des femme est toujours virulente vient des faits ! Le monde écrase nos ovaires, notre biologie de femme, notre faculté à l’enfantement, jusqu’à les nier :
dessin de la brochure de l’Université de Genève sortie en partenariat avec le service public suisse, qu’on peut retrouver en France notamment par l’Observatoire régional de la santé, mais aussi le Planning familial… à lire évidemment pour son pesant de cacahouètes oh le vilain mot !
On est mal on est mal !