Quand j’allais à l’hôpital pour une opération, j’y allais avec ma liste d’allergies. ce qui n’a pas empêché (le chirurgien n’était pas content quand il a vu mon visage) de ressortir avec des brûlures au second degré sur mes joues, étant allergique à la colle des pansements… la dernière en date ? Un jour en allant dans un magasin tout neuf, je fus obligée de sortir illico-presto, de même que passer dans le rayon produit d’entretien ou celui où il y a des plantes, je sors donc équipée de mon beclojet… bien utile… Question d’allergies à la connerie à part vaquer avec un scaphandre sur la tête, ou avec des boules quies je ne vois pas… Pour ce qui est des livres et autres typographies à des années lumières de la lumière, personne ne m’oblige à lire… Bref dans la vie il faut savoir prendre de la distance… La solitude de son exil, un ressourcement ?
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23 juin 2023
Allergies
Questionnement matinal
L’art est-il devenu politique ou l’a-t-il toujours été ?
Tyrannie de la majorité, tyrannie des minorités, vous avez dit liberté ?
Le débat d’idées est-il devenu une pratique obsolète ?
Quand le vocabulaire manque pour s’exprimer, l’école est le fourre-tout de l’ignorance ?
TRISTESSE
Des enseignants ne sauraient plus où donner de la tête au Royaume-Uni où des élèves s’identifiant comme des chats, des chevaux ou même des dinosaures perturberaient la classe en poussant les limites de l’inclusivité.
«Le problème c’est que les enseignants ont un angle mort qui entoure tout ce qui concerne l’identité, car ils ont peur de faire la mauvaise chose», a déploré Tracy Shaw, du groupe de parents Alliance pour la sécurité dans les écoles du Royaume-Uni, en entrevue avec «The Telegraph» lundi.
La semaine dernière, un élève de l’école secondaire Rye College à Sussex de l’Est en Angleterre aurait été réprimandé par son enseignant pour avoir contrarié une autre camarade s’identifiant comme un chat en affirmant qu’elle était une fille.
Dans une école du Pays de Galles, une élève s’identifiant comme un chat refuserait notamment de répondre aux questions de son enseignant en anglais, préférant miauler, selon ce qu’aurait relaté une camarade de classe au «Telegraph».
«Et les enseignants ne sont pas autorisés à être agacés parce que c’est vu comme de la discrimination, aurait-elle ajouté. C’est dérangeant de s’asseoir dans une classe et d’avoir quelqu’un qui miaule à l’enseignant au lieu de répondre à ses questions.»
Car si les écoles avaient établi des protocoles pour adresser la question d’identité des élèves transgenres, la question de ceux qui s’identifient comme des «furry» – des animaux anthropomorphes – ne devrait pas être adressée par le département de l’Éducation britannique, qui invite plutôt les enseignants à appliquer le «bon sens», malgré le sujet délicat.
«Les enseignants devraient gérer la situation sous des lignes directrices prédéterminées, a martelé Tracy Shaw. Si un enfant se présente à l’école en s’identifiant comme un chat ou un cheval, cela devrait immédiatement soulever des drapeaux rouges.» Le journal de Montréal agence QMI