Va chemine va trottine
va dessine, j’ai aussi modifié un tantinet mon environnement, donc tout cela m’accapare… et dingue j’aime ça ! Où va se nicher le plaisir ?
va dessine, j’ai aussi modifié un tantinet mon environnement, donc tout cela m’accapare… et dingue j’aime ça ! Où va se nicher le plaisir ?
« Qu’est-ce que tu prends avec ton café le matin ? demande Idiotaime à son amie.
- Un brin d’humour, lui répond la Bougresse, c’est bon comme de l’amour ! S’ont un paquet à me régaler dont Régis Mailhot. »
Bain des goûts : dès qu’ils ont un peu de succès, ils ne se sentent plus péter ! Pourquoi, avant ils baignaient dans leur jus ? Cuisinaient trop gras ?
On est le 15, il fait 15 degrés, aucune plainte à l’horizon, ciel se pourrait-il que se soit un jour avec… avec une certaine plénitude…
Quand le grattouillis des démangeaisons écrituriennes m’envahit, point de résistance, cela fait plus d’une heure que je suis sur mon roman fantasy : le monde des ailleurs ! Comme je l’ai déjà dit, le final de ma collection : les voyageuses Sol-Air… Beaucoup de travail, à ne pas se perdre dans tous ces mondes… Donc la journée commence bien et pour finir ce soir que du bonheur du rugby à 13 à Tonneins où se jouera une rencontre amicale entre les phœnix de Tonneins et Villeneuve treize ! Allez hop hop hop, je retourne au boulot ! Que la force soit avec vous, avec mes bisous !
Cette nuit, ne pouvant dormir – voilà ce que c’est d’avoir oublié que le jus d’orange et le café pris tard le soir, peuvent donner des insomnies – donc cette nuit, j’ai mis le nez dans une de mes idées, pour la retranscrire dans mon livre : le monde des ailleurs… Mais je ne restais qu’un tiot moment en ce lieu ! Mon nez me dit : va bien falloir d’y mettre, cocotte, au boulot… Tant que j’écris penchée sur mon bureau, signe d’une profonde fatigue, je sais que ce n’est point encore l’heure…
Hier soir tard cela sentait les brochettes ! Ce matin, les gaz d’échappement ! Ayant le nez sensible, je me souviens que le médecin de mes jeunes années ( quand j’étais étudiante) m’avait dit que je pourrais faire un métier où il faut avoir du nez ! Êtes-vous comme moi mettez vous votre nez partout (camembert, melon, fleurs…) Êtes-vous du genre à humer de ci de là ? De dire celui-là je ne le sens pas… Mais attention à ne pas mettre son nez n’importe où on risque l’occlusion neurologique hic !
Une amie très chère me disait c’est la fin du monde ! De notre monde devant ce lot de catastrophes ! C’est clair qu’on est mal barrés ! Aimez vous les uns les autres qu’il disait c’est le moment les gars !
La canicule dite tardive est passée, la Bougresse n’est point trépassée ; pour ce qui est des dégâts intériors le capitalisme n’enquêtera point, le dérèglement climatique fait partie de sa tasse de thé, enfin ses profits, mal-or… Paraît qu’il nous restait dix ans pour stopper la bête, m’avait dit l’écologiste venue chez moi après ma lettre sur les passoires thermiques (entre autres choses) mise ici dans pages, intitulée : fracture énergétique, écrite en juillet 2019… Faudrait pô tarder !
Au diable l’avarice posons cette question riche d’enseignement : la connerie est-elle innée ?