Il est à noter que pour accentuer un terme, il est souvent mis au féminin, comme je viens de le lire dans une phrase rapportée dans marianne.fr, l’individu est qualifié de feignasse ! J’aurais envie de dire touche pô à mon féminin pour suivre l’expression touche pas à mon pote… Ah ce féminin tué dans l’œuf, enfin dans la pomme… Ce féminin indécrottable que la nature a placé sur la route d’envieux, pauvres choubidous qui nous aiment tant qu’ils nous utilisent comme des vases… La mode est à décrier le féminisme, féminisme qui est détourné de son vrai sens, comme je le disais : si Sandrine Rousseau est féministe, la terre est plate… Ce n’est pas pour rien que le féminisme est dévoyé, faudrait quand même pô que Nini se mettent à rêver des même droits que Pierre, Paul, Jacques ? Mon Dieu où irait le monde ? J’ai une tiote idée !
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28 octobre 2023
Effritée
Bien que cette chère dame s’effrite, il lui reste quelques soubresauts… Quand je lis le mot Calvados il me revient à l’esprit que mon père y a travaillé… Mon père envoyait une carte postale de chaque lieu où il a travaillé, oui, quand il n’était plus mineur de fond… et qu’il faisait des puits dans toute la France… Elle aussi, ma mémoire a des réflexes, j’en profite tant que ça dure ! Je pense souvent à ma maman partie en 2011, mon père n’est point en reste… Comment décrire la mémoire du cœur ?
