Victoryne Moqkeuz, mon anagramme

Caroline Bordczyk, mon pseudo d'auteure

15 novembre 2022

Gare à la rétention

Classé dans : Pouce ! — eructeuse @ 6 h 23 min

C’est sur que l’absence de répartie amplifie l’art de la bouderie !

A chacun selon ses moyens !

boudeuse 15 11

1 février 2022

Interrogation

Classé dans : Pouce ! — eructeuse @ 17 h 24 min

Question à deux sous trois cailloux : Si la télé peut abrutir un téléspectateur un lire peu-il abrutir un lecteur ? J’étais en train de regarder un documentaire sur le Peuple Singe et cette question n’est venue…

25 octobre 2021

POUCE POUCE POUCE JE POUSSE

Classé dans : Pouce ! — eructeuse @ 10 h 18 min

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10 mai 2021

Recroquevillés mes souvenirs

Classé dans : Pouce ! — eructeuse @ 4 h 32 min

Je jette un œil furtif sur mon passé qui s’efface quoique je fasse… Dans le coffre aux souvenirs un brouillard chamboule mes pistes… Quant à dessiner un avenir, j’en suis bien incapable ! « Il y aura des promenades » de Fransceca Solleville, chantais-je en des temps d’espoirs heureux… Tant qu’il y a de la vie, souris !

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21 novembre 2020

MAISON CLOSE

Classé dans : Pouce ! — eructeuse @ 6 h 19 min

Les sites de rencontres ont le vent en poupe comme notre gentil occupant de la crèche du 25 décembre…

Avouez que c’est odieux d’empêcher la rencontre du fils, du père et du Saint Esprit, trois en un, c’est pas rien, avec son gentil public déjà fort bien pénétré de sa divine parole ! Dès lors, ce gentil public, manifeste dans la rue son mécontentement de ne pouvoir pénétrer en ce lieu où la divine messe est professée par son digne représentant sur terre ! Indigné ce manifestant s’est levé pour réclamer son droit de s’agenouiller « tous ensemble tous ensemble » dans la maison de sa foi !…

Ciel ciel ma foi quelle est cette loi ô cruelle cruelle loi qui bafoue leur rencontre non inopinée en cette maison sacrée ! Olé et sans capote que la calotte et… le masque !

Comment chanter Noël sans sa messe dont la pénétration dans les chairs et les cœurs passe par l’Ostie avalée sans péché…grâce au fort moment d’une confession en lien direct avec seigneur et roi…! Mise elle aussi en suspend mais quel monde !

Agneau de Dieu prend pitié de ces vilains laïques qui pensent plus au foie gras qu’à ce pauvre Jésus mort sur la croix, même pour ces sans foi !

Foi et loi ne peuvent-ils pas plus faire bon ménage ? Puisse le vent de la sagesse chasser tous ces tourments… et cette covid, tombée du ciel ? !

21 octobre 2020

Sauvetages

Classé dans : Pouce ! — eructeuse @ 12 h 59 min

Son armoire est rempli de ses habits de missionnaire… Tour à tour médecin, psy, conseiller conjugal, chirurgien des mots effilochés, il ne cesse de conseiller ceux qui ont besoin de lui. Derrière son manteau empathique il a cousu sa cape invisible de sauveur et fonce, généreux, apporter sa sage parole aux faibles oies égarées qui se sont perdues sur le chemin tordu de leur vie, que lui va savoir redresser… c’est sa cause, c’est son destin ! Allez louves là notre sauveur est là ! Mais méfiance, certaines sont peu enclines à suivre son chemin :

liberation

Il prend de la hauteur à travers sa mission, noble mission, de sauver son prochain, il se sent marcher sur l’eau tant il se transcende ! Il faut écouter sa bonne parole d’une foi où lui ne compte pas, et s’il en fait un fond de commerce, c’est par pure bonté ! Le Bon samaritain lui aussi aidait son prochain certes dans l’humilité et la discrétion…

Le sauveur cherche-t-il à libérer ses ouailles ? Le « pseudo sauvé » a-t-il demandé son aide ? Qu’il soit gourou religieux (qui n’a rien de commun avec le Bon Samaritain) ou gourou de sa propre foi ne serait-ce point lui qui aurait besoin d’une aide ?

Syndrome du sauveur: comment se libérer du besoin maladif d’aider les autres?

Par Caroline Franc Desages, publié le 01/06/2015 à 07:00 , mis à jour le 02/06/2015 à 16:22

 Où se trouve la frontière entre la générosité, qualité ô combien admirable et l’abnégation pathologique?

Certaines personnes vivent dans un esprit de sacrifice permanent, forçant souvent l’admiration de leur entourage. Que cache ce besoin que les autres aient besoin de nous?

« J’ai l’impression de faire tout pour tout le monde, sans jamais recevoir en retour ». Cette petite phrase, nombreux sont les psychologues à l’entendre, tant ce qu’ils appellent le « syndrome du sauveur » est une cause fréquente de consultation.  

« C’est l’histoire de ma vie, confie ainsi Sandra. J’en suis aujourd’hui libérée, explique la jeune femme, « mais il m’a fallu une longue remise en question pour cesser de tomber amoureuse d’hommes mal en point, alcooliques ou dépressifs, que je m’acharnais à vouloir remettre sur pied, sans bien sûr jamais y parvenir. » 

Comment expliquer que pour certaines personnes comme Sandra, les relations se construisent toujours sur ce modèle de l’aidant et de l’aidé, sans que les rôles ne s’inversent jamais? D’où vient cette faculté à n’être attiré que par des partenaires, amis, collègues, qui ne vont pas bien? Où se trouve la frontière entre la générosité, qualité ô combien admirable et l’abnégation pathologique? 

« Un besoin que l’autre ait besoin de nous »

« Ce syndrôme du sauveur est également appelé la codépendance, explique Emmanuelle Lacroix, psychothérapeute spécialisée notamment dans le traitement des addictions. C’est, pour résumer, le besoin que l’autre ait besoin de nous. » 

« Cela devient pathologique lorsque ce besoin conditionne la relation. Autrement dit, lorsqu’on choisit l’autre parce qu’on y voit la possibilité de le sauver », ajoute Laura Gélin, psychanalyste. Et d’ajouter: « dès qu’il y a un sentiment de ‘dette’, c’est que la relation n’est pas saine ». « La codépendance, c’est aussi la copine qui est ravie quand on l’appelle pour lui dire que ça va pas parce qu’elle va pouvoir vous aider et vous soulager », cite en exemple Emmanuelle Lacroix. 

Souvent, les « sauveurs » ont été, enfant, parent de leur parent

Les causes d’un tel comportement remontent la plupart du temps à la petite enfance, s’accordent à dire les deux thérapeutes. « C’est un schéma que l’on répète inlassablement, souvent parce qu’on a été mis très, trop tôt, en position de sauveur, qu’il s’agisse de ses parents, d’un frère ou d’une soeur, etc », analyse Laura Gélin. « Cela vient souvent d’une famille où l’enfant a été le parent de son parent (une mère dépressive, un parent handicapé, une fratrie de six où l’on est l’aîné…). Ou de familles où il y a un parent addict. Ou de familles où l’on voit son parent se ‘sacrifier’ pour l’autre ou un frère ou une soeur… », ajoute Emmanuelle Lacroix.  

« Il peut aussi s’agir de personnes hyper sensibles, qui ne se sentent aimées qu’en prenant soin de l’autre. Sauf qu’au bout d’un moment, les sauveurs se perdent, ne s’occupent pas du tout d’eux-mêmes et sont des cocotes minutes d’agressivité et de frustration. Ils ne savent pas exprimer leur besoin et en veulent à l’autre. » 

Des relations vouées à devenir toxiques

« J’ai grandi entourée d’un frère bien plus âgé qui se droguait et d’un père qui buvait. Dès ma naissance, je me suis probablement sentie investie d’une mission, que je n’ai pas pu mener à bien, évidemment, parce que le propre, la plupart du temps, des personnes dépendantes, c’est qu’ils ne veulent pas être sauvées. J’ai rempli un panier percé pendant des années et j’ai ensuite continué avec mon mari », raconte ainsi Sandra.  

« Le problème de ce type de scénario, c’est qu’il est en effet la plupart du temps voué à l’échec, constate Laura Gélin. La relation devient forcément toxique. Si on parvient vraiment à sauver l’autre, du coup, cela ne marche plus puisqu’on a besoin d’être un recours permanent. Et si l’on n’y arrive pas, on s’épuise ».  

« Je me sentais obligée d’être la psy de tout le monde »

Cette position intenable, Camille l’a expérimentée: « Je n’avais pas nécessairement l’impression de le chercher mais les gens autour de moi se confiaient très facilement à moi. C’était très lourd à porter, car je me sentais toujours obligée d’être la psy de tout le monde, de devoir « sauver » autour de moi. J’ai eu un « électrochoc » quand dans la même semaine une collègue et une étudiante (je suis prof) m’ont confié dans la même semaine qu’elles avaient été violées… Ces confidences, il faut pouvoir les accueillir. »  

« Avec la maturité et une psychanalyse de 20 ans », Camille a réussi à se distancier pour mieux « aider » si nécessaire, « et surtout ne pas exister qu’à travers le « support » que l’on peut apporter à ses proches. » « J’ai renégocié mes rapports aux autres, même si je suis depuis tout petite ‘la mère’ de mes parents, et que l’âge et la maladie font que mes parents me placeront toujours dans la position de ‘sauveuse’ » 

Sauver les autres pour satisfaire un besoin de reconnaissance

« Pour sortir de ce cercle infernal, il faut parvenir à identifier le scénario originel que l’on reproduit inconsciemment », confirme Laura Gélin. Il est également nécessaire de se remettre en question et d’admettre que cette propension à vouloir sans cesse aider et soutenir son entourage ne relève pas que de la pure empathie ou générosité. Ne vivre qu’en fonction du besoin qu’ont les autres de nous peut en effet trahir « une volonté de toute puissance », explique Laura Gélin. 

Sur le plan narcissique, se sentir indispensable au mieux-être de ses proches est très valorisant et peut satisfaire un désir de reconnaissance. Personne ne se sacrifie par pure abnégation, « pour » les autres. On attend forcément quelque chose, des remerciements qui ne viennent en général jamais, pour la bonne raison d’ailleurs que souvent, l’autre n’a pas demandé ce sacrifice.  

Identifier ses propres besoins

Il faut également, pour briser ce schéma, travailler sur ses propres besoins et son incapacité à recevoir, souligne Laura Gélin. Les personnes atteintes de ce syndrome du sauveur choisissant par ailleurs souvent des conjoints souffrant d’addictions, Emmanuelle Lacroix conseille également, lorsque c’est le cas, de se rapprocher d’associations comme AL-ANON, un groupe d’entre-aide pour les proches d’addicts.  

« Bien entendu le partenaire en face ne sera pas ravi des changements de celui qui jusque là se consacrait uniquement à son salut, mais c’est essentiel pour la survie du sauveur. Sans quoi ce dernier peut finir par somatiser, déprimer ou faire des crises d’angoisse, voire basculer dans la consommation ». « Car à force de ne pas prendre soin de soi, le corps ne peut plus tenir. » 

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Comment avoir davantage confiance en soi?

  • Apprendre à nager adulte pour sortir la tête de l’eau

  • Retour en force de l’art oratoire: « Parler, c’est affirmer sa singularité »

  • Se juger en permanence est néfaste pour la confiance en soi

« On ne peut s’en sortir qu’en faisant le deuil de ceux que l’on n’a pas pu sauver enfant », résume Laura Gélin. « Lâcher ce fantasme de toute puissance, accepter l’idée de ce qu’on a pas reçu, de ce statut d’enfant qu’on ne nous a pas accordé ». Cela implique aussi, conclut-elle, de ne plus rêver de changer l’autre et d’avoir un peu plus d’estime de soi, de se convaincre que l’on mérite soi même d’être aimé et d’être un objet d’attention. 

1 septembre 2020

Là haut dans mes étoiles

Classé dans : Pouce ! — eructeuse @ 6 h 59 min

Trois jours de haute tension, mon traitement a été réajusté une nouvelle fois par tel… mon médecin est en vacances encore une semaine, j’ai donc rendez-vous mercredi chez un autre médecin…

Une douleur sur le côté gauche me tenaille plus fortement depuis cette nuit et ne me lâche pas,  est-ce mon rein gauche ? Bon je retourne au lit !

Prendre son mal en patience prend ici toute son expression !

Prenez-soin de vous !

Bises et love !

31 août 2020

PAS MIEUX

Classé dans : Pouce ! — eructeuse @ 6 h 24 min

La Bougresse a encore passé sa journée d’hier dans les étoiles mais sans son balai, son cœur en mode je fonce grave se prenait pour celui de la sprinteuse du temps jadis ! Les gentlemen doudou sont venus soutenir la bête ! En parlant de bête, une tiote dame est passée aussi !…

Crayon et papiers sont aussi au lit et ainsi donc mon nouveau roman s’intitule : « Le labyrinthe des pas perdus »

Prenez soin de vous !

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30 août 2020

15 15

Classé dans : Pouce ! — eructeuse @ 6 h 21 min

J’aurais mieux fait de fermer ma grande Lala hier en parlant de fraîcheur, j’ai passé la journée et la soirée au lit avec une haute tension… Question rafraîchissement c’était pas ça ! Mes fils sont venus et sont restés avec moi longtemps. J’ai fait le 15 deux fois car malgré le cachet ma tension montait encore j’ai suivi les recommandation du médecin… Je vous ai mis trois articles avant mon dodo…

Mon cœur a fait sa Castafiore ! Ce matin à 6h je suis à plus de 19 et ai pris mon traitement du matin… Voilà pour les nouvelles fraîches comme on dit merci pour vos 2500 visites hier ! Prenez-soin de vous, je retourne au lit ! Bises et love !

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9 mai 2020

HUILES ESSENTIELLES

Classé dans : Pouce ! — eructeuse @ 6 h 29 min

Le virus viral capitalus* empile ses méfaits ! N’y a-t-il point de vaccin pour éradiquer cette face de pet ?

Chaque matin que dame nature fait, il est là, il stationne comme le soleil qu’on croit éternel… Ce n’est pas faute qu’il soit combattu…

Verrue, pus, il bouche les routes, encombre les voies d’une libération…

Le virus viral capitalus te suce suce, son évacuation est une nécessité, un vrai misinistre de l’intérieur !

Pousse, pousse-le, toi seul à ce pouvoir !

Entrée ou sortie, une bonne lubrification est de mise !

Un peu d’huile de ricin ?

* Appelé plus communément constipation

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