Victoryne Moqkeuz, mon anagramme

Caroline Bordczyk, mon pseudo d'auteure

9 novembre 2013

Ah elle jouit 5 ou 6 fois de son pied gauche…

Classé dans : Mais qu'est-ce qu'elle bafouille encore cette baveuse ! — eructeuse @ 10 h 56 min

Ah elle jouit 5 ou 6 fois de son pied gauche... dans Mais qu'est-ce qu'elle bafouille encore cette baveuse ! pied-gauche-150x150

Texte éructé le premier juillet 2013

Ah elle jouit cinq ou six fois de son pied gauche, vindiou, vla l’info pécho sur Libé, ho, oh, qu’il me faut, ça me chatouille et vous ça vous gratouille ?

Pensez ! La science en est toute retournée et moi toute souriante, béante !

Mais je les comprends tous ces savants, c’est fort intéressant, c’est pourquoi je livre à dame science que, sans culotte, j’ai la fesse révolutionnaire et l’orgasme transcendental !

Quand j’éructe ma colère dans les rues de ma France, ma jouissance est sans limite, je prends mon pied de chatte libertaire pour botter le cul à la bourgeoisie, marée chaussée de ses godillots cloutés, qui veut me faire taire …

Quand un nazillon me crie «  salope va te faire enculer », je suis aux anges , han han, de voir que ce constipé de l’extase troudeballelisse tic ( nerveux le pauvre!) est conforme à son parti d’aigris préhistoriques…

Bon tout ça pour dire, aucu aucu aucune hésitation, sans pied gauche orgasmique ou sans manif, avec notre bel outil cliclic, au centre de nos cuisses, l’orgasme est toujours de la partie hi !

Ps : pour celles qui se lèvent du pied droit, copé le son de votre (é)talon, ça vous fera un grand bien ou un bien fou car  « je suis fou du pain au chocolat » ne fait plus rire …M’enfin, il faut savoir humour baver !

61556_635360523156401_94246950_n-150x150 dans Mais qu'est-ce qu'elle bafouille encore cette baveuse !

Les perles du libertinage

Classé dans : certains de mes écrits 2013,Suavement — eructeuse @ 8 h 15 min

 

Cet écriturien libertin jamais ne s’éteint,

 Même nu,

sa prétention pointée l’habitait,

même cru,

sa parole tirée pénétrait,

et même quand il était lu, sa prose virevolteuse promettait.

 Sur le parchemin de sa jouissance, ce dodu de la circonférence étalait son obédience avec conquérance…

 A moi vos monts vos merveilles vos cons vos roses des vents !

Ah la belle vie, m’aime, m’aime, que je m’aime, ah ma belle vie, oui je ne suis pas le plus beau mais je ne suis point un crapaud, je me dirais pas aussi beau que le paon de la basse cour mais j’y concours assurément. J’ai beaucoup donné de ma personne que l’humilité de mon front ne peut qu’éclabousser de sa lumineuse sérénité, ces chères amazones libérées que j’ai contentées….

Ah tant de femmes agenouillées aux pieds de ma modeste personne, à savourer le dôme d’une excroissance naturelle, ah oui je fus si bien gâté par dame nature, qu’il phallus, oui, je sais c’est trop bon, que j’en fasse profiter toute dame à la recherche d’un peu de tempérament, il faut que je le conte par écrit.

Ah oui, je fus si bien monté, que ma dextérité envers la féminité de mes chères dames d’un ou de mille soirs ne fut jamais tremblante. Non, non, je ne pleure pas mon départ, oui oui, ce n’est pas un au adieu, rien d’un adieu, juste un ajustement, l’oiseau c’est envolé vers une cage qui n’a besoin plus besoin de barreau, ma femme s’en réjouit…En fait, elle n’était dupe de rien…Je m’en doutais quelque peu… Un caramel mou chéri me nargue-t-elle. Ris ris, ma belle, si mon pipeau s’est éteint un tantinet, mes mains gouvernent encore, elle en sait quelque chose, c’était sa préférence en d’autres temps, et mes nouvelles conquêtes hurlent encore sous la jute de mes assailleuses à tant de dômes ! Non pas question de rire que je gis impuissant en ce destin car jouir est mon refrain et vous réjouir mon festin ! Cons je vous aime.

 Il se relu et admira sa plume trempée dans la jouissance de son glorieux passé, à faire l’amour chaque fois que l’occasion s’en présentait…Même s’il la provoquait.

 Il acheva son papier :

Rien ne s’achève, mes lèvres brûlent encore de connaître de goûteuses cyprines et vos cris de bonnes salopes rabelaisiennes…Je ne badine point avec la baise !

 Ah encore encore du temps pour tremper mes doigts dans l’encre d’un con bien disposé, vivent les cons aimées, mes douces, vivent les cons aimées !

 

8 novembre 2013

A chacun sa vérité

Classé dans : Art, vie et avis — eructeuse @ 10 h 35 min

A chacun sa vérité  dans Art, vie et avis 1010552_624545927569973_676945846_n-150x150

 qui professe celle-ci?

 » Tous les hommes sont menteurs, inconstants, faux, bavards, hypocrites, orgueilleux et lâches, méprisables et sensuels ; toutes les femmes sont perfides, artificieuses, vaniteuses, curieuses et dépravées ; le monde n’est qu’un égout sans fond où les phoques les plus informes rampent et se tordent sur des montagnes de fange ; mais il y a au monde une chose sainte et sublime, c’est l’union de deux de ces êtres si imparfaits et si affreux. On est souvent trompé en amour, souvent blessé et souvent malheureux ; mais on aime, et quand on est sur le bord de sa tombe, on se retourne pour regarder en arrière ; et on se dit :  » J’ai souffert souvent, je me suis trompé quelquefois, mais j’ai aimé. C’est moi qui ai vécu, et non pas un être factice créé par mon orgueil et mon ennui. »

Je ne suis point du genre à utiliser les citations des uns et des autres, ni à m’en servir pour pérorer… Il me paraît si important que chacun puisse avoir droit à son opinion sans passer, ingurgiter, subir, celles des autres…  c’est un fait que, si beaucoup en usent et en abusent, c’est si bon de paraître érudit dans ce monde de l’art, l’artifice, chacun fait ce qu’il veut, beaucoup aussi, encore heureux… mais il ne demeure pas moins vrai que la culture cultive, j’ai donc pris la liberté de prendre cette tirade d’un orateur qui ne mâche pas ses mots et note au passage que sensuel est à l’homme ce que la dépravation est à la femme…Passons…

De qui est ce virulent passage d’une merveilleuse sagacité à mes sens éblouis ?

Notre cher Alfred De Musset nous offre cette belle tirade placée dans la bouche de Perdican s’adressant à Camille, son aimée, dans la fin de la scène V de l’acte 2 : » on ne badine pas avec l’amour » et une partie de la tirade de Perdican serait sortie du courrier que Georges Sand lui adressa après leur séparation.

C’est beau, ça donne envie d’aller  découvrir ces deux talentueux amoureux : ces cher-es Alfred et Georges Sand… 

ACTE DEUXIEME  

SCENE V

EXTRAIT (fin de la scène)

PERDICAN
Sais-tu ce que c’est que des nonnes, malheureuse fille ? Elles qui te représentent l’amour des hommes comme un mensonge, savent-elles qu’il y a pis encore, le mensonge de l’amour divin ? Savent-elles que c’est un crime qu’elles font, de venir chuchoter à une vierge des paroles de femme ? Ah ! comme elles t’ont fait la leçon ! Comme j’avais prévu tout cela quand tu t’ès arrêtée devant le portrait de notre vieille tante ! Tu voulais partir sans me serrer la main ; tu ne voulais revoir ni ce bois, ni cette pauvre petite fontaine qui nous regarde tout en larmes ; tu reniais les jours de ton enfance ; et le masque de plâtre que les nonnes t’ont plaqué sur les joues me refusait un baiser de frère ; mais ton coeur a battu ; il a oublié sa leçon, lui qui ne sait pas lire, et tu es revenue t’asseoir sur l’herbe où nous voilà. Eh bien ! Camille, ces femmes ont bien parlé ; elles t’ont mise dans le vrai chemin ; il pourra m’en coûter le bonheur de ma vie ; mais dis-leur cela de ma part : le ciel n’est pas pour elles.

CAMILLE
Ni pour moi, n’est-ce pas ?

PERDICAN
Adieu, Camille, retourne à ton couvent, et lorsqu’on te fera de ces récits hideux qui t’ont empoisonnée, réponds ce que je vais te dire : Tous les hommes sont menteurs, inconstants, faux, bavards, hypocrites, orgueilleux et lâches, méprisables et sensuels ; toutes les femmes sont perfides, artificieuses, vaniteuses, curieuses et dépravées ; le monde n’est qu’un égout sans fond où les phoques les plus informes rampent et se tordent sur des montagnes de fange ; mais il y a au monde une chose sainte et sublime, c’est l’union de deux de ces êtres si imparfaits et si affreux. On est souvent trompé en amour, souvent blessé et souvent malheureux ; mais on aime, et quand on est sur le bord de sa tombe, on se retourne pour regarder en arrière ; et on se dit : “ J’ai souffert souvent, je me suis trompé quelquefois, mais j’ai aimé. C’est moi qui ai vécu, et non pas un être factice créé par mon orgueil et mon ennui. ”
Il sort.

Extrait de : On ne Badine pas avec l’Amour - Alfred de Musset

7 novembre 2013

Le vagabond aux longs cours…

Classé dans : Hi ronde d'ailes — eructeuse @ 11 h 42 min

Le vagabond aux longs cours... dans Hi ronde d'ailes 540355_637150189658152_1585111505_n-150x150

Mon amant vagabonde et prend le chemin de mes dentelles, remonte le long de mes cuisses gourmandes et tourbillonne en pressions pétillantes sur mes rondeurs rayonnantes.

Palpitantes, émouvantes, ses mains arpentent la cambrure de mes reins, à la recherche du frissonnement suave qui me rendra folle de lui, puis dépose dans cette vallée, de tendres baisers.

Un vent de douceur se lève et balaie d’un regard mes yeux mi-clos.

Une vague de chaleur envahit mes joues rougies, mon vagabond d’amour, chemine dès lors sur les vallons de mes seins avec la délicatesse d’un musicien qui aime à porter mes soupirs sur sa feuille de route, composition magique…

Ses lèvres effleurent mon cou et marquent leur territoire d’un baiser goulu, chavirant mon cœur, enivrant mon corps, alors, le vagabond aux longs cours, satisfait de son voyage, amant divin, amant vivant, vient boire, en ma bouche offerte, le fruit de nos passions… 

541397_587369074660713_322354966_n-150x150 dans Hi ronde d'ailes

28 octobre 2013

Y A BON

Classé dans : Féministe vindiou pour sûr !,PATRIARCACA TIRONS LA CHASSE ! — eructeuse @ 9 h 47 min

Y a bon

Bonne

domestique soubrette

bonne à tout faire

boniche

bonichon

belles miches

michetonnons les bôs nichons de la boniche

y a bon les bons nichons de la bonne à tout faire de la bonne à tirer

bonniche

y a bon la prostitution

femelle à disposition

qui doit prendre la position de sa soumission

de sa domestication

être à sa place en la place

con à disposition

y a bon aussi la fellation

à qui on a donné le droit de vote parce que le légisbaveur savait qu’elle voterait comme son poltron de mari, à droite.

Y a bon l’institution

Droite

union des légisbaveurs dont la bite tire aussi loin que les idées, issue de la cuisse de dieu le père, la mère est dans l’ escalier… La belle nobleuse serait capable de s’allier avec le diable si elle sentait que la sainte femelle reproductrice accédait au pouvoir de ses droits d’être humain mettant en danger le socle de la famille patriarcale, fracassant les bases d’un capitalisme dont l’héritage et la propriété sont ses mamelles. C’est pourquoi bien qu’elle s’en branle des droits de l’enfant, cette chienne qui a inventé les bagnes pour gosses, à manifester contre le mariage pour tous , soutenue par la horde de primates dont la tête sert à porter des croix gammées !

Rien de neuf sous le ciel de France et si le changement était à l’heure du gouvernement, il ne serait pas l’allié du libéralisme qui pille les peuples et met femme, jeunesse et plus de 50 ans sur les trottoirs du chômage…

Ah la gauche,

Si la gauche de la gauche de la gauche de la gauche, bon j’arrête là, était à gauche, elle n’aurait pas perdu la bataille des retraites qui plongent les vieilles au delà de la misère, mais la vie des femmes, ce n’est pas sa priorité à la gauche, les pauvres femmes, ce n’est pas sa lutte de classe, à la gauche dont les têtes pensantes ont la révolution plus portée sur ce qui se passe loin de chez nous, ben merde on est content que les autres fassent leur révolution…grand bien leur fasse !

Ah ma gauche et son coup de balai ce fut une manif révolutionnaire, une manip, qui a changé la vie ici, youpi ! Ah ma gauche et son nombrilisme masturbatoire, ses grands discours et sa grande foire aux idées, oui ça vient…ah jouir de soi quel émoi et moi et moi…

Aragon a dit la femme est l’avenir de l’homme

Qui est l’avenir de la femme ?

Ah ma bonne dame !

   Y A BON dans Féministe vindiou pour sûr ! img0991-300x218

NI MAÎTRE NI DIEU 

23 octobre 2013

JE SUIS EN EFFROI…

Ô rage, je suis en effroi…

 L’œil jaunâtre, la canne à la main, je me maintiens, et apostrophe mon émoi, du fond de ma crise de foi-e, vindiou vindiou, je suis en effroi !

Bassinée d’une humeur d’humoriste de droite, ma veine de fiel pestifère et empeste mes vécés, ciel je suis biaisée, comment se fait-ce là ? Je me suis pourtant posée à l’aube de mes gesticulations, sur mes deux pieds, scellés par les liens de l’équilibre, certes qui penche à gauche…

ô vieillesse traîtresse, l’étanchéité de mon âme a basculé dans une humeur de gôche et maudit mon humeur de chienne faisandée faisant la trêve d’une tolérance plus souvent en maintenance sur le chemin plus cocufié que divinisé de la politique.

Boudiou je suis toute congestionnée, toute consternée, trouvant point de blasphème à décrier, pour prouver ma raison raisonnée de ma foi de ma loi de mon roi…

Silence chiennes !

Turbulences intempestives de mes turpitudes invecticides !

Ah je suis dans l’effroi, de quel bouffon suis je ce matin chagrin, l’idiote utile, de quelle positionnement, suis-je l’imbécile heureuse ?

 Un bruit s’élève, une voie gronde du fond du grouillement caverneux.

Qui appelle ?

Oui holla ?

Qu’ouïs-je ?

Quelle ironie agite mes boyaux ?

Quelle est donc cette intestine rébellion ?

Oui donc ?

Ah que ?

Aqueuse

rien ne sert de maudire, il faut courir à temps,

ce qui rentre, doit sortir la gueuse pesteuse !

18 octobre 2013

Au royaume de la vie…

Classé dans : Hi ronde d'ailes — eructeuse @ 10 h 28 min

Au royaume de la vie, les oiseaux font la farandole,

les arbres bruissentAu royaume de la vie... dans Hi ronde d'ailes 539773_731933873499973_1823399320_n-150x150 en vagues langoureuses, 

les cascades bondissentcascade-150x150 dans Hi ronde d'ailes jusqu’en rigoles sympathiques,automne-150x150 

les animaux batifolent, 1392049_739055592787801_1512737082_n1-150x150la musique de leurs ébats résonnent en sonates bucoliques…

Le chemin de la vie tempête ses couleurs,

le rouge soleil déclarelatest_eit_304-150x150 sa justice,

 smithsonian-photo-contest-naturalworld-solar-eclipse-colleen-pinski-150x150la jaune lune éclaire sa liberté,

la terre bleue accouche sa nature, 150606_3619950476990_1263741678_n1-150x150multicolore de vérité…

Au royaume de ses parfums, les fleurs sont reines,1385966_591305470933740_2122516697_n-150x150 elles frétillent, distillent, pétillent l’universalité de leurs différentes senteurs, leurs différentes beautés, leurs différentes saveurs..sous les ailes des abeilles souverainement complices, fées de vie…

Mais au royaume de la planète bleue, le seul animal doté de conscience a détruit, saccagé, tué son prochain, son voisin, pour quelques territoires, pour quelques billets et pièces d’argent.

Son descendant se rêve en colonisateur de l’espace…pleure son présent ne n’être point couvert des pouvoirs du pognon d’un footballeur, d’un acteur, d’un concepteur de portable, d’un député à la retraite dorée, colère ne d’être qu’un jouet de la civilisation chaotique qu’il a laissée grandir, le fauteur c’est l’autre.

Être calife à la place du calife.

Écrasé, piétiné l’autre en toute liberté, donné de la haine, violé en toute impunité, ah pouvoir vomir son racisme, étalé au grand jour son aigreur, son envie de meurtre, sa gestapeau, au front de sa haine. Cet animal humain consomme, pollue, car c’est son droit, le politicien le maintien bien dans son bain : mateur de mort virtuelle sur des jeux de guerre, mateur d’informations pré-digérées, de nouvelles sans autenticité, de jeu-réalités, pour que son cerveau avale sans coup frémir ni pensée…prêt à l’acceptation de toute compromission : guerres, crises, esclavage, prostitution, du moment qu’il en tire un bénéfice, le plus petit soit-il, du moment que c’est le voisin qui crève la faim, car l’enfer c’est toujours l’autre, chacun sa merde, c’est son chapelet de vie, jusqu’à tuer l’amour…La vie…

champignon-atomique

Il finira seul, la queue coincée dans le con artificiel de sa dernière conquête, la seule figure qu’il respecte, celle sur laquelle il peut déverser toute sa rancœur, toute sa haine, le dernier miroir de son égocentrisme… en la broyant de ses coups, car elle, elle ne crie pas qu’il lui fait mal, en beuglant sa furie jusqu’en son dernier souffle : « sale pute ! ».

15 octobre 2013

NI DESARROI NI DOUTE

Classé dans : Pétroleuse de pacotille la fille ! — eructeuse @ 12 h 46 min

Étrangement étrange…

 

Ciel, je me sens toute bizarre, pas de pointe joviale au coin de la lèvre, même pas narquoise quoi, aucune diatribe jaillissante lorsque mes yeux parcourent les merveilles merdiatiques de ce matin : Entre la Morano no no qui piaille si si, sa plainte à tout va- un jour ça va, deux jours bonjour les dégâts- le Fillon qui s’envole vers des bassesses dues au rang de sa vassalité antérieure : l’assommoir dans ta gueule, et des profs qui auraient reçu la lumière du FN, je me sens étrangement étrange… Ni vomissure, ni nausée, ni ras le caca, ni fosse qui déborde, non, non, je suis étrangement étrange, je marche à l’envers, étrangement étrangère à ces déversements merdiatiques politiques… La droite comme d’habitude, fidèle à elle-même, ni ni, sans honte, la gauche qui fait toujours pitié, l’extrême gauche, j’en parle même pas, tant Besancenot force mon admiration avec la puissance de son marteau et sa faucille qui pètent l’enclume et la nouvelle chic la nouvelle choc, la plus fumante ah la la, la plus hallucinante oh la la, quoi vous ne saviez pas, ô ciel ciel, le FN a des profs encartés oyé, des profs, oui, oseraient dans le pays de Maurras, de Péguy, de Monterlant, de Céline, de Maupassant, de Rioufol, d’Aron, de Mauriac, etc etc etc etc oseraient dans le pays de Buisson, de zemmour, de Luchini, de Houllebecq, d’Ormesson, de Dantec, de Ménard, de Lévy E , se montrer ouvertement de droite et voire même d’une droite dure… Ciel quelles nouveautés, c’est incroyable, des intellectuels… de droite… C’est marrant mais, j’arrive pas à trouver ça nouveau…Ciel je suis devenue incompatible avec la politique ambiante.. ! 

11 octobre 2013

ON DIT QUE

ON DIT QUE dans C'est si bon de rire, il faut savoir sourire de tout, et aussi de soi dit en passant ! rumeurON DIT

que rien n’arrive par accident1098337_10200490103430675_1575446559_n-150x150 dans C'est si bon de rire, il faut savoir sourire de tout, et aussi de soi dit en passant !

que l’amour rend aveuglesexy-150x150

que les blancs ne savent pas danser1392049_739055592787801_1512737082_n-150x150

que les amoureux sont seuls au mondelamour-libre

que les meilleurs partent les premiersjesus

que les temps changent7172_494488097286119_441008317_n-150x150

que le bonheur n’attend pas le nombre des annéesmiss_univers-150x150

que le temps guérit les blessuresvaseline250-150x150

qu’il a eu une belle mortcapitalisme2-150x150

qu’il faut souffrir pour être bellebeyonce-150x150

qu’il en estrugby5-150x150

qu’il a la rageimagescah1w0ol

que l’argent ne fait pas le bonheur1208506_692286927465482_1104685655_n-150x150

qu’on est d’accord sur le principebrigitte-bardot-buste-150x150(même les deux là je crois!!)

que le chien est le meilleur ami de l’hommevoix-maitre-150x150

 

que la femme est l’avenir de l’hommetumblr_mp0f5n1sq31qa42jro1_500-150x150 

 

ON M’A DIT

qu’on dit « bonjour monsieur bonjour madame, pas…salut

qu’on dit « médiéval pas moyenâgeux , m’enfin quoi t’as pas de culture ?

qu’on dit « la partie émergée de l’iceberg, pas…visible, imbécile !

qu’on se tient droit en toutes circonstances…même à genoux !

que la parole est d’argent, c’est pourquoi les politiciens sont riches !

qu’il faut tourner sa langue sept fois dans sa bouche…pas dans celle de la voisine

 

mais le plus comique c’est qu’on dit qu’au fond d’une urne habite l’espérance !manifestations_retraites-23-09-2010_agen-02-300x200     

mauvaise langue moi pss si peulangue

 

 

 

 

 

 

 

 

 

7 octobre 2013

Mon amour des lois ça va de soi !

Classé dans : certains de mes écrits 2013 — eructeuse @ 8 h 40 min

Mon amour des lois ça va de soi !  dans certains de mes écrits 2013 2275299537_small_1-300x240

MON AMOUR

La loi du plus fort : donne les coups, t’ordonne de fermer ta gueule…

La loi du plus riche : se prend pour celui qui est plus haut et on peut rajouter, ben, fallait naître dans la bonne classe sociale…

La loi du silence : philosophie du plus fort…

La loi du plus beau : t’es beau et con à la fois, ben on ne peut pas tout avoir…

La loi du genre : toi la gonzesse, sois belle et tais-toi…

La loi du talion : œil poché pour œil poché, dent s’il t’en reste…

La loi de la jungle : Attila c’est moi pousse toi…

La loi des séries :quand le hasard devient une science…

La loi de la rue : ne gouverne pas ( c’est Sarko qui l’a dit et en plus c’est vrai !).

La loi du sport : c’est pas forcément le meilleur qui gagne (même dopé ?).

La loi du rugby : Johnny fait moi mâle !

La loi de la nature : con de père en fils si si c’est prouvé (l’humour se congèle-t-il?)

La loi de l’amour : tu seras un homme mon fils, une pute ma fille !

La loi de la vie : Rien ne sert de courir…

La loi de la mort : Rien ne sert de courir…

Devant la recrudescence du chacun fait sa loi, dans un monde où le pognon vaut plus que la vie, dans un pays où la philosophie du rejet de l’autre trouve son chemin sous la bannière du FN et peut être présente à des élections sans outrager la république, j’éructe mon amour de tes lois ma république, de mon amour de l’égalité, de mon amour de la justice, de l’amour de ma patrie en tant que peuple souverain, l’amour de la liberté et en cela je rejoins ce qu’a dit monsieur Robespierre :

le 30 mai 1791, en conclusion du discours sur la peine de mort, qu’il est un des rares à condamner, monsieur Robespierre indique que « la force des loix dépend de l’amour et du respect qu’elles inspirent » .

Pour Robespierre, l’amour des lois est un attribut de la souveraineté du peuple et un devoir pour les représentants du souverain. Ceux-ci doivent se montrer vertueux c’est-à-dire agir par amour de l’égalité afin d’établir des lois bonnes auxquelles on obéira parce qu’on les aime : c’est là l’horizon du travail législatif. Les lois injustes n’inspirent au peuple ni le respect ni l’amour. Lorsque le peuple s’insurge contre de mauvaises lois, il le fait pour rétablir l’ordre social fondé sur le respect des principes du droit naturel à l’existence, c’est-à-dire la patrie. Un peuple, au sens politique du terme, agit par amour de la patrie, ce qui le définit comme peuple et le distingue de la masse.(Ce qui est en italique est un EXTRAIT tiré d’un article de Yannick Bosc : Robespierre et l’amour des lois).

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